... La conclusion logique de l'hystérie de la « désinformation ».
Si vous voulez connaître la conclusion logique de l'hystérie de la « désinformation », regardez ce qui se passe au Brésil.
Avant d'en arriver là, rappelons-nous ce qui s'est passé en Amérique. Des documents divulgués par les sénateurs Charles Grassley et Josh Hawley
ont révélé la véritable nature de ce que le « conseil de désinformation » du Département de la Sécurité Intérieure (DHS) - le ministère de la vérité - était censé être.
Après sa dissolution, sa dirigeante évincée, Nina « Scary Poppins » Jankowicz , une propagatrice hyper-partisane de désinformation de gauche, ainsi que le DHS lui-même ont affirmé que l'objectif de l'unité n'avait jamais été « de censurer ou de contrôler les discours de quelque manière que ce soit ».
Il s'avère que c'était ... eh bien ... de la désinformation !
Les documents divulgués montrent que le gouvernement avait prévu de travailler main dans la main avec Twitter et s'étaient déjà rencontrés pour travailler à « l'opérationnalisation de partenariats public-privé entre le DHS et Twitter » pour supprimer et censurer les contenus liés aux « théories du complot ». Les théories du complot, bien sûr, étant un euphémisme fourre-tout pour toute information nuisible aux récits du régime.
Cela allait bien au-delà du fait que Twitter, en tant qu'entreprise privée, aussi hyper partisane soit-elle, se contente d'appliquer ses propres conditions de service. Il s'agissait pour le gouvernement de travailler directement avec Twitter pour censurer les informations qu'il jugerait nuisibles. Tout comme cela se passe dans des endroits comme la Chine communiste et en totale violation du premier amendement.
Et le but ultime se déroule actuellement au Brésil. Les élections présidentielles, législatives et régionales du Brésil doivent avoir lieu en octobre. Le président du tribunal électoral supérieur du Brésil a déclaré ouvertement que le tribunal annulera les vainqueurs des élections s'il estime qu'ils ont diffusé de la désinformation en ligne.
« Lorsque, dans le cadre de sa fonction juridictionnelle, le tribunal reçoit une plainte et qu'il est démontré qu'un candidat spécifique s'est livré à des actes qu'il savait être faux, il sera soumis à la règle du code électoral qui qualifie cette conduite de crime et peut entraîner la perte de son poste à titre de sanction », a averti Edson Fachin.
En d'autres termes, si Jair Bolsonaro est à nouveau élu démocratiquement par le peuple brésilien, le tribunal électoral peut simplement prétendre que Bolsonaro a partagé de la « désinformations » sur un sujet pendant la campagne et lui retirer arbitrairement la présidence.
Fachin a affirmé que « nous n’avons aucun candidat dans le collimateur». Et pourtant, le seul candidat sous surveillance est Bolsonaro pour avoir mis en garde contre la vulnérabilité à la fraude des systèmes de vote électronique.
Et soyons honnêtes. Ce trope de désinformation est à sens unique. Il ne touche que les candidats populistes de droite conservatrice. Ce qui se passe au Brésil représente manifestement une attaque contre les fondements mêmes de la démocratie !
C'est littéralement un coup d'État !
Mais tout cela est présenté comme raisonnable sous le prétexte d'arrêter la « propagation de la désinformation » et on en revient toujours au même point : qui décide de ce qu'est la désinformation ? La bureaucratie fédérale. L'État profond. Le régime.
Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?
Article publié le 10 juin 2022
Source : https://summit.news/2022/06/10/a-chilling-development-in-brazil/
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… et qualifie cela de « propagande haineuse ».
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« L'objectif de cette boîte à outils gratuite est d'aider les parents, les éducateurs et la communauté à identifier et à intervenir lorsqu'un jeune est en train d'être conditionné et recruté par un mouvement suprémaciste blanc avant qu'il ne soit trop tard. »
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... Il annule les soi-disant politiques d'inclusion des Trans.
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L'abandon des toilettes « neutres » dans les hôpitaux, les écoles, les bureaux et les lieux de divertissement aurait été approuvé par les ministres, après que la ministre de l'égalité du parti conservateur, Kemi Badenoch, ait plaidé en faveur de cette nécessité légale.
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L'Union européenne a donné plus de 220 000 euros provenant des contribuables pour financer des « projets drag queens » destinés aux jeunes dans de nombreux pays, a-t-il été révélé.
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Erasmus+ (@EUErasmusPlus) : « Il n'y a pas deux personnes identiques, nous sommes tous uniques. Chacun d'entre nous est le résultat de ses propres valeurs, de ses rêves, de ses ambitions et de ses talents. Dans cette Pride, nous voulons affirmer nos singularités car, combinées, elles nous rendent plus forts. Ce mois-ci, suivez #TheFutureIsQueer. Et soyez fiers. »
« L'argent de l'UE a été déboursé pour ...