... Chaque fois que la femme a utilisé les mots « he » (il) ou « him » (lui, la BBC a remplacé ces mots par « they » (ils) ou « them » (eux).
Le Times of London rapporte que la BBC a modifié la formulation du témoignage d'une victime de viol parce que les employés woke de l'émission ne voulaient pas « mégenrer » l'homme biologique qui aurait commis l'abus.
L’article note que la BBC a modifié la déclaration de la femme suite à « un débat sur les pronoms de son agresseur transgenre ».
« La femme a appelé son violeur présumé « him » (lui), mais des sources en interne ont déclaré que ses mots avaient été modifiés pour éviter de « mégenrer » l'agresseur dans un article publié sur le site Web de la BBC », ajoute le rapport.
Il précise que chaque fois que les mots « he » (il) ou « him (lui) ont été utilisés par la femme, la BBC a changé la formulation en « they » (ils) ou « them » (eux).
« Une source a déclaré que la citation a fait l'objet d'un débat animé avant sa publication. Certains journalistes ont soutenu que la citation devait rester intacte, tandis que d'autres ont dit qu'elle devait refléter les pronoms elle/elle préférés de la femme trans », note encore le rapport.
La femme, qui est lesbienne, aurait décrit l'incident à la BBC : « Il m'a menacé de révéler que j'étais une TERF (est l'acronyme de Trans-exclusionary radical feminist et décrit une féministe rejetant l’idée que les femmes trans sont des femmes) et de me faire perdre mon emploi si je refusais de coucher avec lui. J'étais trop jeune pour discuter et j'avais subi un lavage de cerveau avec la théorie queer, ce qui faisait de lui une 'femme', même si chaque fibre de mon être criait dans tous les sens, alors j'ai accepté de rentrer chez moi avec lui. Il a utilisé la force physique lorsque j'ai changé d'avis en voyant son pénis et il m'a violée ».
Après que la BBC ait fini de modifier la déclaration ci-dessus, on peut lire : "[Ils] ont menacé de me dénoncer comme terf et de me faire perdre mon emploi si je refusais de coucher avec [eux]. J'étais trop jeune pour discuter et j'avais subi un lavage de cerveau avec la théorie queer, donc [ils étaient] une 'femme', même si chaque fibre de mon être criait tout le temps, donc j'ai accepté de rentrer à la maison avec [eux]. [Ils ont] usé de la force physique lorsque j'ai changé d'avis en voyant [leur] pénis et m'ont violée ».
L'article est toujours en ligne sur le site de la BBC au moment où nous écrivons ces lignes.
C'est littéralement la chose don't Ricky Gervais fait la satire dans son dernier One Man Show, ce qui lui a valu de nouvelles accusations de « transphobie ».
« SA PÉNIS, ESPÈCE DE BIGOTE. »
Une source anonyme au sein de la BBC a déclaré au Times qu’ « à l'origine, toutes les références étaient masculines, mais les collègues woke du site d'information ont voulu les rendre féminines à cause du mégenrage. C'est assez choquant. Je ne peux pas penser à une autre situation où nous changerions les mots d'une victime de viol présumée ».
Réagissant à cette affaire, la BBC a déclaré : « Il est courant d'avoir des discussions éditoriales sur différentes histoires. Notre seule intention, lorsque nous décidons du langage, est de rendre les choses aussi claires que possible pour les audiences ».
Incroyable.
Cela ne va pas à l'encontre de l'attitude du gouvernement britannique, qui, selon certains rapports, s'apprête à considérer le « mégenrage » comme un « incident haineux non criminel ».
Tout ça pour rassasier la foule woke.
Article publié le 1er juin 2022
#PaulJosephWatson #SummitNews #EspritdeResilience #LGBTQ #BBC #Déformation #Information #Viol #Agression #Transgenre #Mégenrage
… et qualifie cela de « propagande haineuse ».
Après l'outrage du convoi de la liberté, avez-vous pensé que le régime Trudeau pourrait se calmer un peu ? Eh bien, détrompez-vous !
Le gouvernement canadien, par l'intermédiaire des contribuables, a financé l'envoi dans les écoles du pays d'un livret qui apprend aux enfants à se méfier des personnes qui utilisent l'argument de la « liberté de parole » parce qu'il fait partie des « défenses courantes de la propagande haineuse ».
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... Il annule les soi-disant politiques d'inclusion des Trans.
Le gouvernement britannique a rendu obligatoire l'installation de toilettes non mixtes dans tous les bâtiments publics, c'est-à-dire un espace séparé pour les femmes et un espace séparé pour les hommes, mettant ainsi fin à la tendance à l'installation de toilettes unisexes où les hommes et les femmes pouvaient entrer.
L'abandon des toilettes « neutres » dans les hôpitaux, les écoles, les bureaux et les lieux de divertissement aurait été approuvé par les ministres, après que la ministre de l'égalité du parti conservateur, Kemi Badenoch, ait plaidé en faveur de cette nécessité légale.
Cette mesure signifie que toutes les réglementations en matière de planification et de construction devront prévoir un espace indépendant pour les installations réservées aux femmes, ainsi que l'introduction de cloisons dans les toilettes unisexes déjà présentes dans les bâtiments.
Une source gouvernementale a déclaré au London Telegraph : « Il est ...
... Alors que les Européens souffrent de la crise du coût de la vie.
L'Union européenne a donné plus de 220 000 euros provenant des contribuables pour financer des « projets drag queens » destinés aux jeunes dans de nombreux pays, a-t-il été révélé.
De l'argent bien dépensé !
L'argent a été envoyé au programme européen pour la jeunesse Erasmus+, qui, comme le montrent les recherches de l'eurodéputé allemand Nikolaus Fest, sert à financer la promotion de spectacles de drag queens au nom d'une organisation qui a récemment proclamé que « l'avenir est gay ».
Erasmus+ (@EUErasmusPlus) : « Il n'y a pas deux personnes identiques, nous sommes tous uniques. Chacun d'entre nous est le résultat de ses propres valeurs, de ses rêves, de ses ambitions et de ses talents. Dans cette Pride, nous voulons affirmer nos singularités car, combinées, elles nous rendent plus forts. Ce mois-ci, suivez #TheFutureIsQueer. Et soyez fiers. »
« L'argent de l'UE a été déboursé pour ...
