« Que feriez-vous ? » Cette question peut être très utile. Elle peut être à la fois clarifiante et humble lorsqu'on évalue des situations complexes.
Pour l'illustrer, appliquons-la à un exemple concret dans la vie réelle. En mai 2021, Israël et le Hamas ont mené une brève guerre à Gaza. Presque tout le monde sait que le Hamas a déclenché le conflit. Tirer des roquettes sur un pays voisin est la définition même d’ « agression ». Et Israël a répondu comme le ferait tout pays attaqué. Pourtant, beaucoup accusent Israël, et non le Hamas, d'être responsable de la violence.
Les gens ont certainement le droit de critiquer l'État juif, même lorsqu'il se défend. Mais avant de le faire, posez-vous une question, celle que j'ai posée en ouverture. Que feriez-vous ?
Alors, félicitations ! Vous venez d'être nommé Premier ministre d'Israël. Et Monsieur (ou Madame) le Premier ministre, nous avons un problème. Le Hamas tire des centaines de roquettes sur nos villes. Il est vrai que notre système de défense anti-missile empêche la plupart d'entre elles d'atteindre leurs cibles. Mais beaucoup arrivent à passer. Ces derniers jours, les missiles du Hamas ont tué un citoyen israélo-arabe et sa fille, ainsi qu'un garçon juif de cinq ans. Des millions de vos concitoyens ont été contraints de se réfugier dans des abris anti-bombes. L'économie est arrêtée. Vos citoyens, juifs et musulmans, sont terrifiés et demandent une action. Qu'allez-vous faire ?
Vous avez deux options.
Option 1 : ne rien faire. Israël est plus fort que le Hamas. Et, par conséquent, les personnes qui n'aiment pas Israël vous dépeindront comme une brute si vous réagissez. Cela conduit à beaucoup de mauvaise presse. Donc, pour éviter un désastre en termes de relations publiques, dites à vos citoyens de rester dans leurs abris anti-bombes et d'espérer que le Hamas n'aura bientôt plus de missiles ; ou...
Option 2 : se défendre. Utilisez votre puissante armée pour arrêter les tirs de missiles afin que vos citoyens puissent reprendre une vie normale.
Si vous choisissez de vous défendre, alors vous faites ce que fait Israël.
La première responsabilité de tout gouvernement est de protéger ses citoyens contre l'invasion, la violence et la terreur.
Donc, vous avez donné l'ordre d'arrêter les tirs de missiles. Mais attendez. Il y a un gros problème. Le Hamas opère au cœur des villes densément peuplées de Gaza. Il stocke ses missiles dans des immeubles, des hôpitaux et des écoles. Et il tire ses missiles depuis des quartiers résidentiels. Ils ne se soucient pas du fait qu'utiliser des civils comme boucliers humains de cette façon est un crime de guerre. Alors, pour arrêter les tirs de missiles, vous devrez donc frapper le Hamas au cœur des centres de population de Gaza. Si vous voulez protéger vos citoyens, vous risquez de blesser des civils palestiniens. Qu'allez-vous faire ?
Vous avez deux options.
Option 1 : ne rien faire. Les terroristes ont été plus malins que vous en utilisant votre propre moralité contre vous ; vous êtes pris au piège par votre propre décence. Dites à vos citoyens de rester dans leurs abris anti-bombes et d'espérer que le Hamas sera bientôt à court de missiles ; ou...
Option 2 : faire tout ce qui est possible pour arrêter les missiles tout en protégeant les civils palestiniens.
Comment ? Avant de mener une opération, larguez des milliers de tracts pour prévenir de votre arrivée. Créez des couloirs sûrs pour que les civils puissent fuir. Et avant de frapper un bâtiment particulier, prévenez chaque personne dans ce bâtiment de votre arrivée. Appelez et envoyez des SMS sur leurs téléphones portables. Et assurez-vous qu'ils sont bien partis.
Si vous choisissez l'option 2, vous faites ce que fait Israël. Oui, vous abandonnez l'élément de surprise. Oui, les terroristes vont très probablement prendre leurs missiles et fuir avec les civils. Et oui, en laissant les terroristes s'échapper pour vous attaquer un autre jour, vous mettez en danger votre propre population. Mais c'est ce sur quoi Israël insiste pour protéger les Palestiniens.
Malheureusement, tous les pays ne sont pas aussi moraux qu’Israël. Quand les pays sont plus forts que leurs adversaires, ils ont en fait une troisième option : le bombardement sans discernement. Vous pourriez donc simplement bombarder Gaza sans essayer de limiter les pertes civiles. Cela permettrait de protéger au maximum vos soldats et vos civils et d'écraser le Hamas dans un avenir proche. C'est ce que la Russie a fait à Grozny, la capitale de la Tchétchénie, lorsque cette province musulmane a cherché à obtenir son indépendance dans les années 1990. C'est ce que le Hamas essaie de faire lorsqu'il tire des milliers de missiles sur les villes israéliennes. Mais ce choix est immoral.
Israël n'a jamais fait et ne fera jamais une chose pareille. Vous ne devriez pas non plus, Monsieur ou Madame le Premier ministre.
Ceux qui prennent à la légère les roquettes du Hamas n'ont manifestement jamais connu la terreur de courir vers des abris anti-bombes, d'entendre des bombes exploser autour de soi, puis d'appeler frénétiquement ses proches pour savoir s'ils vont bien.
Toutes les nations ont non seulement le droit mais aussi l'obligation de défendre leurs citoyens contre de telles attaques. Et les meilleures de ces nations le font tout en prenant des mesures difficiles et dangereuses pour protéger les civils innocents de l'autre côté. C'est ce que fait Israël. J'espère que vous ferez de même. Parce que les autres options - comme se comporter comme le Hamas - ne sont tout simplement pas acceptables.
Je suis David Brog, directeur exécutif de la Maccabee Task Force, pour l'université Prager.
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… et qualifie cela de « propagande haineuse ».
Après l'outrage du convoi de la liberté, avez-vous pensé que le régime Trudeau pourrait se calmer un peu ? Eh bien, détrompez-vous !
Le gouvernement canadien, par l'intermédiaire des contribuables, a financé l'envoi dans les écoles du pays d'un livret qui apprend aux enfants à se méfier des personnes qui utilisent l'argument de la « liberté de parole » parce qu'il fait partie des « défenses courantes de la propagande haineuse ».
« L'objectif de cette boîte à outils gratuite est d'aider les parents, les éducateurs et la communauté à identifier et à intervenir lorsqu'un jeune est en train d'être conditionné et recruté par un mouvement suprémaciste blanc avant qu'il ne soit trop tard. »
Le ministre de la Diversité du pays - oui, c'est un poste réel, plutôt le ministre du « monde des clowns » - Ahmed Hussein a déclaré aux journalistes que le lavage de cerveau des enfants pour les rendre paranoïaques sur la ...
... Il annule les soi-disant politiques d'inclusion des Trans.
Le gouvernement britannique a rendu obligatoire l'installation de toilettes non mixtes dans tous les bâtiments publics, c'est-à-dire un espace séparé pour les femmes et un espace séparé pour les hommes, mettant ainsi fin à la tendance à l'installation de toilettes unisexes où les hommes et les femmes pouvaient entrer.
L'abandon des toilettes « neutres » dans les hôpitaux, les écoles, les bureaux et les lieux de divertissement aurait été approuvé par les ministres, après que la ministre de l'égalité du parti conservateur, Kemi Badenoch, ait plaidé en faveur de cette nécessité légale.
Cette mesure signifie que toutes les réglementations en matière de planification et de construction devront prévoir un espace indépendant pour les installations réservées aux femmes, ainsi que l'introduction de cloisons dans les toilettes unisexes déjà présentes dans les bâtiments.
Une source gouvernementale a déclaré au London Telegraph : « Il est ...
... Alors que les Européens souffrent de la crise du coût de la vie.
L'Union européenne a donné plus de 220 000 euros provenant des contribuables pour financer des « projets drag queens » destinés aux jeunes dans de nombreux pays, a-t-il été révélé.
De l'argent bien dépensé !
L'argent a été envoyé au programme européen pour la jeunesse Erasmus+, qui, comme le montrent les recherches de l'eurodéputé allemand Nikolaus Fest, sert à financer la promotion de spectacles de drag queens au nom d'une organisation qui a récemment proclamé que « l'avenir est gay ».
Erasmus+ (@EUErasmusPlus) : « Il n'y a pas deux personnes identiques, nous sommes tous uniques. Chacun d'entre nous est le résultat de ses propres valeurs, de ses rêves, de ses ambitions et de ses talents. Dans cette Pride, nous voulons affirmer nos singularités car, combinées, elles nous rendent plus forts. Ce mois-ci, suivez #TheFutureIsQueer. Et soyez fiers. »
« L'argent de l'UE a été déboursé pour ...
